Bien entendu, comme je viens de commencer ce blog, je fais preuve d'une folle productivité qui va progressivement s'atténuer jusqu'à extinction des feux, alors autant battre le fer pendant qu'il est chaud (pour d'autres expressions du Moyen Âge, demande-moi, j'adore).
Donc, pendant que mes parents regardent allègrement Une Femme d'Honneur à la télé (en partie pour échapper à la poubelle Secret Story et leurs candidats que si j'les vois dans la rue je leur jette des pierres pour les punir du crime d'exister), je me mets en devoir de vous parler... de lecture ! Whouhouhou, put your hands up, je vois dans tes yeux l'enthousiasme débordant. Mais j'm'en fous, j'suis une tarée, je continue.
DONC, comme je disais, la lecture, c'est genre ma vie (attention j'ai une fâcheuse à qualifier tout ce que j'aime de "c'est ma vie", ne t'alarme pas). J'ai découvert les livres dès que j'ai su déchiffrer les mots. Et ce avec l'inégalable Comtesse de Ségur, ouais monsieur, moi je veux du classique t'as vu. Il va donc sans dire que Les Malheurs de Sophie et Les Petits Filles Modèles, je peux presque te les réciter en faisant le poirier (à ceci près que je ne sais pas faire le poirier). J'en étais tellement fan que j'ai souffert d'une légère confusion dans l'espace-temps en croyant que ma mère avait été petite fille à la même époque que Sophie, Camille, Madeleine et toute la bande. Elle l'a mal pris, va savoir pourquoi. Ensuite, j'ai quelque peu baissé mes critères en devenant une avide lectrice des Barbie, Grand Galop et autres Heartland qu'il est peut-être utile d'oublier, ne serait-ce que pour mon amour propre.
Et puis est arrivée une révolution dans ma vie: Harry Potter. A présent je vois dans tes yeux la question que tu brûles de poser: "As-tu 12 ans et demi ?". La réponse est: non, j'en ai bien 19, et si tu méprises Harry Potter laisse-moi te dire que tu ne mérites qu'une mort lente et douloureuse, si possible à base d'acide sulfurique et d'asticots mangeurs d'homme. On déconne pas ici, tu as remarqué.
Harry Potter donc. J'ai grandi avec ces livres, j'ai attendu chaque nouveau tome avec une impatience quasi-insupportable et du coup ma meilleure amie m'a ramené le 7 en anglais des Etats-Unis (ouais ça va la vie) en attendant la version française sorte. Je l'ai avalé en cinq jours (je rappelle que le terme "avalé" a bien sa place, parce qu'un bouquin de cette taille en anglais en cinq jours avec tous les mots spécifiques à la magie, ben voilà quoi), et puis après j'ai pleuré, parce que c'était fini. Les films adaptés (que je vais à chaque fois voir sans faire de comparaison avec les livres, sinon t'es forcément déçu parce qu'ils peuvent pas faire des films de 6h les cocos) ont aussi rythmé ma vie, Harry a grandi en même temps que moi, il est devenu une sorte d'ami (non je ne suis pas encore complètement barge, je sais que c'est un personnage de fiction, mais si tu comprends pas je te zut). Mon but ultime est donc d'avoir un jour des enfants juste pour leur faire lire Harry Potter. Et toucher des allocs'. Oh mais je rigole c'est bon !
Maintenant, je lis un peu de tout. Enfin non, beaucoup de tout. Je viens de finir 1984 d'Orwell, qui franchement m'a fait flippé, parce que si on en arrive à ça un jour les enfants on peut être contents pour 2012. Là j'entame Le Portrait de Dorian Gray. Comme ça, ça fait très littérature classique hein ? Mais ne te leurre pas, j'aime aussi les bouquins de filles et les Marc Levy. Eh oui, je sens que je te déçois mais...
Donc, pendant que mes parents regardent allègrement Une Femme d'Honneur à la télé (en partie pour échapper à la poubelle Secret Story et leurs candidats que si j'les vois dans la rue je leur jette des pierres pour les punir du crime d'exister), je me mets en devoir de vous parler... de lecture ! Whouhouhou, put your hands up, je vois dans tes yeux l'enthousiasme débordant. Mais j'm'en fous, j'suis une tarée, je continue.
DONC, comme je disais, la lecture, c'est genre ma vie (attention j'ai une fâcheuse à qualifier tout ce que j'aime de "c'est ma vie", ne t'alarme pas). J'ai découvert les livres dès que j'ai su déchiffrer les mots. Et ce avec l'inégalable Comtesse de Ségur, ouais monsieur, moi je veux du classique t'as vu. Il va donc sans dire que Les Malheurs de Sophie et Les Petits Filles Modèles, je peux presque te les réciter en faisant le poirier (à ceci près que je ne sais pas faire le poirier). J'en étais tellement fan que j'ai souffert d'une légère confusion dans l'espace-temps en croyant que ma mère avait été petite fille à la même époque que Sophie, Camille, Madeleine et toute la bande. Elle l'a mal pris, va savoir pourquoi. Ensuite, j'ai quelque peu baissé mes critères en devenant une avide lectrice des Barbie, Grand Galop et autres Heartland qu'il est peut-être utile d'oublier, ne serait-ce que pour mon amour propre.
Et puis est arrivée une révolution dans ma vie: Harry Potter. A présent je vois dans tes yeux la question que tu brûles de poser: "As-tu 12 ans et demi ?". La réponse est: non, j'en ai bien 19, et si tu méprises Harry Potter laisse-moi te dire que tu ne mérites qu'une mort lente et douloureuse, si possible à base d'acide sulfurique et d'asticots mangeurs d'homme. On déconne pas ici, tu as remarqué.
Harry Potter donc. J'ai grandi avec ces livres, j'ai attendu chaque nouveau tome avec une impatience quasi-insupportable et du coup ma meilleure amie m'a ramené le 7 en anglais des Etats-Unis (ouais ça va la vie) en attendant la version française sorte. Je l'ai avalé en cinq jours (je rappelle que le terme "avalé" a bien sa place, parce qu'un bouquin de cette taille en anglais en cinq jours avec tous les mots spécifiques à la magie, ben voilà quoi), et puis après j'ai pleuré, parce que c'était fini. Les films adaptés (que je vais à chaque fois voir sans faire de comparaison avec les livres, sinon t'es forcément déçu parce qu'ils peuvent pas faire des films de 6h les cocos) ont aussi rythmé ma vie, Harry a grandi en même temps que moi, il est devenu une sorte d'ami (non je ne suis pas encore complètement barge, je sais que c'est un personnage de fiction, mais si tu comprends pas je te zut). Mon but ultime est donc d'avoir un jour des enfants juste pour leur faire lire Harry Potter. Et toucher des allocs'. Oh mais je rigole c'est bon !
Maintenant, je lis un peu de tout. Enfin non, beaucoup de tout. Je viens de finir 1984 d'Orwell, qui franchement m'a fait flippé, parce que si on en arrive à ça un jour les enfants on peut être contents pour 2012. Là j'entame Le Portrait de Dorian Gray. Comme ça, ça fait très littérature classique hein ? Mais ne te leurre pas, j'aime aussi les bouquins de filles et les Marc Levy. Eh oui, je sens que je te déçois mais...
J'suis éclectique j'te dis.
